Il y a toujours un moment ou la réalité prend le dessus,
On en oublierai presque les instants qu'on a souhaité si fort,
la délicatesse de ne jamais oublier des rêves qu'on a fais,
Au détriment de certaines personnes qui nous étaient cheres,
Je ne sais plus si j'ai perdu, ou si quelqun d'autre a gagné.
On me parle d'être forte, de prendre la vie dans mes bras,
Mais regardez moi pour une fois, cette fragilité que j'ai fais mienne,
Cette douceur que j'ai crée, cette sensibilité qui s'est installée
Ces larmes qui sans cesse coulent sur mes joues,
Qui déchirent mon coeur sans qu'on en voit la moindre épine,
Je ne suis pas celle que l'on peut croire,
Epargnez moi ces sarcasmes agaçant,
Ces idées illusoires que chacun peut se faire de la vie,
J'en ai construit une à mon image,
Une vie telle un conte cauchemardesque,
Que j'ai toujours fais au plus profond de moi.
Je ne veux pas sourire à ce que je hais plus que tout,
je veux rire de ce que j'aime pour le rendre plus vulnérable
j'ai mal de faire semblant, peur de faire pour de vrai,
N'être que l'image d'un souvenir, d'u n monstre qu'il a créée,
je ne suis ni plus ni moins qu'une goutte de sang pas tout à fait sèche.
Et cela personne ne le voit, personne ne l'imagine.
Alors ne parlez pas de ce que vos yeux peuvent voir,
Laissez vos beaux discours de l'autre côté du rideau,
Et dites moi alors que je suis une fille bien.